L’Italie est la huitième puissance mondiale selon le classement du FMI par PIB en 2016. Elle est aussi la quatrième de l’Union Européenne, sur le point de devenir la troisième avec le Brexit. Dans cette perspective, elle a pour ambition de devenir une puissance directrice encore plus importante au sein de l’Union Européenne, en se positionnant comme véritable leader dans le processus décisionnel de cette entité politique aux fondements économique.
Pourtant, en 2008, alors que le monde est secoué par la crise économique et financière importée des États-Unis, l’Italie est particulièrement touchée par le phénomène. L’État-providence italien se voit alors dans une grande difficulté à continuer à assurer ses missions.
Si le pays a structurellement une forte dette souveraine, il est touchée de façon très particulière : si le PIB recule de façon très importante, et est encore aujourd’hui inférieur de 7 % par rapport à son niveau de 2008, le pays a un niveau de déficit largement en dessous de la barre symbolique des 3 %, comme le stipulent les traités européens, établie par le traité de l’Union Européenne afin d’assurer de la stabilité économique de ses membres.
L’Italie est un concentré de paradoxes : endettée mais productive, indispensable à la zone euro mais risquant à chaque instant de la crise de la fragiliser, entre déficit stable et dette souveraine très lourde, contenant en son sein parmi les secteurs les plus productifs de l’économie financiarisée et les populations les plus vulnérables, État de passage de l’immigration qui se voit obligé d’être un pays d’accueil.
Les enjeux de la rémission économique du pays dans une économie européenne en pleine mutation sont centraux. En gardant à l’esprit l’attitude italienne face aux réformes exprimée dans l’expression « Hai voluto la bicicletta ? Adesso pedala ! », qui se traduit par « Tu as voulu un vélo ? Maintenant pédale ! », tentons alors de décrire la situation économique et financière de l’Italie.
La structure socio-économique italienne
L’Italie n’est devenu un pays unitaire qu’à partir de 1861, suite au Risorgimento (renaissance de l’Italie unie) mené par le royaume de Sardaigne. Cette unification tardive est un des facteurs d’inégalités entre les territoires.
L’Italie est, en ce début de XXIe siècle, un acteur majeur de la scène internationale, forte de ses soixante millions d’habitants, et d’un PIB de 1 849,97 milliards de dollars en 2016 selon le FMI.
La structure économique spécifique de l’Italie
L’Italie est l’un des principaux acteurs agricoles de l’Union européenne et le plus grand producteur européen de riz. Le secteur agricole compte pour environ 2 % du PIB italien (1) et est fortement tributaire de l’importation de matières premières utilisées dans la production agricole, du fait des ressources naturelles limitées du pays.
L’importance des Petites et Moyennes Entreprises est une autre des spécificité du tissu économique italien (qui a le plus fort taux en Europe), avec plus de 90 % des entreprises industrielles italiennes (2) ayant moins de 100 employés, notamment dans le nord-est.
Quant au secteur des services, il représente environ les trois quarts du PIB italien et emploie environ 70 % de la population active du pays (3). Le tourisme, l’un des secteurs les plus dynamiques et les plus rentables en Italie, représente la plus grande partie du secteur des services. L’Italie est le cinquième pays le plus visité au monde et le troisième le plus visité de l’Union européenne.
Historiquement, l’Italie est organisée en districts industriels. La force de ces bassins de mono-activité reposait sur un phénomène de synergie entre les entreprises. Cette organisation favorise un partage des innovations.
Autrefois envié par de nombreux pays, le modèle de production italien est partiellement en crise. La structure en réseau de ces districts industriels est désormais mise à mal par un nombre croissant de délocalisations qui rompent ces liens traditionnels existants entre les entreprises.
Inégalités territoriales et difficultées structurelles
L’économie italienne est caractérisée par les contrastes régionaux importants, entre le Nord développé (plaine du Pô), industrialisé, et très dynamique, le Centre, autour de Rome, dominé par le secteur tertiaire et les fonctions politiques de la capitale, et le Sud, le Mezzogiorno, plus rural et qui souffre d’un taux de chômage élevé (de l’ordre de 14 %) et de la présence de la mafia.
L’activité industrielle italienne est principalement concentrée dans la partie nord du pays, notamment dans les villes comme Turin, Milan et Venise.
Cette économie est très dépendante des importations de matières premières et d’énergie. Plus de 75 % de l’énergie est importée (4) , le pays disposant de quelques gisements de gaz naturel et de ressources hydro-électriques, mais ayant totalement renoncé à l’énergie nucléaire.
Les difficultés de l’économie italienne sont principalement dues à un modèle économique qui n’est plus adapté au marché mondial. En particulier, la taille moyenne des entreprises italiennes est désormais trop petite par rapport aux exigences de la mondialisation, tandis que les districts industriels traversent, eux, une crise majeure.
Le capitalisme familial occupe encore une place centrale en Italie. Or, celui-ci se caractérise par une forte méfiance et une forte opacité vis-à-vis des investisseurs institutionnels, ce qui retarde la nécessaire modernisation de ces PME qui ne sont donc plus assez compétitives pour faire face à la concurrence internationale.
De nombreuses entreprises ont été rachetées par des groupes étrangers, comme par exemple le groupe de sidérurgiste Lucchini par le russe Severstal en 2013. Les entreprises italiennes sont aussi concurrencées, en Italie même, par l’implantation de compagnies étrangères.
Enfin, la présence de la mafia marque significativement la structure économique italienne. Les organisations les plus connues sont celles de la mafia sicilienne, la ‘Ndrangheta calabraise et la Camorra à Naples. Elles sont bien établies sur leurs territoires et y exercent des activités d’extorsion, de trafic de drogue, de prostitution et participent à l’économie informelle. Certains avancent que 7 % du PIB italien en serait le produit.
Quelles politiques économiques en réaction à la crise de 2008 et quels résultat ?
La gestion immédiate de la crise et ses conséquences
En 2008, quand la crise économique et financière mondiale frappe l’Europe, alors que ce sont Silvio Berlusconi et la droite italienne qui sont au pouvoir, les effets sont quasi-immédiat en Italie. On observe une récession immédiate et un taux de croissance négatif (en glissement) en trois mois. La reprise a lieu un an plus tard grâce à des investissements massifs de l’Etat et des régions dans l’économie réelle et bancaire. La dette publique en pourcentage du PIB passe la barre symbolique des 100 % en 2008 puis augmente en deux temps, à chaque plan de relance pour atteindre les 132,6 % du PIB en 2016.
Les plans de sauvetage se sont aussi accompagnés d’une baisse de l’impôt sur les sociétés et d’une hausse de l’impôt sur les revenus personnels. Face à la chute de l’épargne, point fort structurel du pays, le gouvernement se voit obligé d’effectuer des sauvetages de banques et de les lier à des politiques d’austérité pour obéir aux directives de l’Union Européenne. Le taux de chômage a bondi, celui des jeunes est passé d’environ 20 % à plus de 40 % au moment où Renzi prend le pouvoir en 2014 (5).
Pour cela, l’Etat-providence italien a dû s’appuyer sur les structures sociales et familiales traditionnelles. On a observé un retour massif des jeunes chez leurs parents. Les politiques de diminution des coûts sociaux se sont accompagnées d’un appui constant des pouvoirs publics sur les réseaux familiaux, qui sont déjà structurellement très sollicités : plus de 80 % de l’activité italienne repose sur les PME, dont la majorité est familiale (6). Et on observe aussi une différenciation régionale au sein de l’Etat fédéral, où chaque région ne s’est pas appuyé de la même manière sur ces structures.
Le tournant Renzi
Au moment au Matteo Renzi accède au pouvoir, en 2014, l’Italie est en pleine crise de légitimité à l’échelle européenne et mondial : il est reproché au pays d’avoir engagé des dépenses qui se sont avérées assez inefficaces à moyen terme, et de ne pas avoir été capable de contrer la tendance longue de l’économie qui était, déjà avant la crise, en perte de compétitivité.
Face à ces problèmes, Matteo Renzi a essayé de jouer sur les causes de la crise de légitimité. Suite de l’échec du référendum sur la réforme constitutionnelle, censée, entre autres, réduire de 315 le nombres de sièges au parlement italien, il a été contraint de démissionner en décembre 2016. Mais il a eu le temps de mettre en oeuvre des réformes. Il a d’abord entamé des démarches fiscales pour réduire la dette souveraine italienne et relancer l’économie.Il a baissé à nouveau les impôts sur les sociétés et augmenté la TVA à 22%. De plus, le taux moyen d’impôt sur le revenu personnel a augmenté de 1,5 points entre 2013 et 2016 (7) .
Il a aussi essayé de stimuler l’emploi en diminuant son coût et en le flexibilisant grâce au Jobs Act de 2014, permettant un CDI unique à protection croissante.
Les conséquences de la politique de Renzi sont mitigées
D’un côté, comme promis, le déficit a été réduit à 2,6 % du PIB, et la croissance est faible (1,7 % en 2017 selon les projections) mais stable et positive. De plus, la plupart des indicateurs macroéconomiques du pays montrent des résultats stables et en légère amélioration.
De l’autre, si le taux de chômage a globalement diminué, il a continué à augmenter pour les 15-24 ans. De plus, depuis la fin de la détaxation qui avait accompagné la réforme du Jobs Act, l’amélioration est moins rapide ; l’augmentation des salaires a continué à diminuer, les effets positifs de la réforme se sont concentrés sur les plus de 50 ans ; alors qu’en parallèle, l’âge moyen de départ à la retraite s’est allongé de 7,58 ans depuis 2009 (8), laissant encore moins de place aux jeunes sur le marché du travail. Enfin, l’échec du référendum a augmenté la défiance des régions vis-à-vis du pouvoir central italien qui gère la majeur partie des dépenses sociales sur lesquelles le parti démocrate joue depuis 2014.
Quels challenges désormais pour l’économie italienne ?
Le problème de la dette publique
Si les réformes structurelles engagées par l’administration Renzi ont réussi à stabiliser la dette italienne, et si le déficit public italien est aujourd’hui dans les rails des préconisations européennes, des secteurs pouvant aider à cette réduction en stimulant la croissance sont encore à développer selon l’OCDE :
- le problème de l’efficacité des infrastructures demeure, et le fossé est très important entre les régions du Nord et du Sud (ce qui est lié en partie à la corruption et l’importance de l’économie informelle dans le Sud) : régler le problème passe par la numérisation, la lutte contre la corruption, contrôler la rigueur de l’application des réformes.
- la collecte des impôts reste assez inefficace : moins de 40 % des impôts potentiels sur le territoire sont effectivement collectés ; l’Italie tient l’avant dernière place dans ce secteur, derrière la Grèce.
- la part du coût de la sécurité sociale reposant sur les entreprises est plus élevée que dans n’importe quel autre pays de l‘OCDE.
- il faut réduire la part de créances irrécouvrables des banques italiennes.
- la recherche et développement représente moins de 1,5 % du PIB (pour comparaison, elle est à près de 3 % en Allemagne).
Régler le problème du chômage : adéquation entre formation et marché du travail
Si le chômage a augmenté de façon dramatique à la suite de la crise de 2008, ce sont les jeunes qui ont été les plus touchés.
La particularité italienne par rapport aux autres pays de l’Union et de l’OCDE est que l’inadéquation avec le marché du travail vient plus qu’ailleurs d’un manque de compétences des chercheurs d’emploi par rapport au marché, plutôt que d’une éducation supérieure dans le mauvais secteur.
Une des solutions serait d’investir dans les structures de recherche d’emploi, dans la formation continue et dans la reconversion des chômeurs, investissement qui demeure très bas (0,4 % du PIB) (9). Cela doit aussi passer par une réforme du système scolaire dont le niveau reste largement inférieur au niveau moyen dans l’OCDE, et a diminué même en lecture et en sciences entre 2012 et 2015 d’après le rapport PISA de 2015.
Enfin, l’Italie n’a quasiment pas de formation professionnelle courte (type BEP/CAP, Bac Pro), ce qui, d’après le rapport sur l’équité sociale de l’Union Européenne de 2016, est un des facteurs éducatifs les plus déterminants pour améliorer l’adéquation entre offre et demande de travail.
Lutte contre la pauvreté
Une des conséquences de l’appui de l’Etat Italien sur les structures familiales pour réduire la prise en charge de l’Etat des dépenses sociales est l’appauvrissement depuis le début de la crise des foyers avec le plus d’enfants à charge. De plus, cette politique de diminution des coûts des politiques sociales a en définitive diminué la part des transferts sociaux qui arrivent aux plus pauvres : à court terme cela fragilise les foyers les plus pauvres et ceux avec le plus d’enfants qui sont plus vulnérables ; à long terme cela risque d’augmenter les inégalités et donc de fragiliser l’économie.
En définitive, ces challenges ne sont pas compartimentés, car on voit que les défis futurs pour l’Italie sont liés à deux enjeux de fond :
- changer de paradigme quant à la forme que prennent les politiques économiques publiques pour les rendre plus ciblées et efficaces, et donc diminuer leur coût.
- renforcer la structure administrative et politique italienne qui semble délitée, extrêmement inégale en fonction de la région, et rendue inefficace par la place de l’informel.
Etude de cas particulier : le sauvetage de grandes banques italiennes cet été, comme politique italienne symptomatique
Depuis 2015, l’Union Européenne a décidé la mise en place d’une union bancaire dont le but est de minimiser les dépenses. L’exemple de la mise en oeuvre de ce système a été, en Espagne, le rachat de la banque Banco Popular par Santender et l’absence totale d’investissements de fonds publics par l’Etat, en accord avec le mécanisme de Résolution mis en place par la BCE. Ce dernier a mené aux pertes des actionnaires mais n’a pas mobilisé l’argent du contribuable. En Italie, face aux difficultés rencontrées par de nombreuses banques cet été, notamment l’une des principales et des plus anciennes, la Banca Monte dei Paschi, mais aussi des deux principales banques vénitiennes, Banca Popolare di Vincenza et Veneto Banca, la politique de la Banque Centrale Européenne (BCE) n’a pas été aussi stricte qu’en Espagne.
En Italie, les autorités ont dû instituer un fonds de soutien privé pour les banques, appelé Atlante, doté de 4,25 milliards d’euros et abondé par 70 institutions financières, destiné à contribuer à assainir un secteur paralysé par 360 milliards d’euros de créances douteuses. Il doit aussi servir à recapitaliser les banques les plus fragiles qui ont échoué au test de résistance de la BCE en octobre 2014. La question de la remise sur rails de la plus ancienne banque au monde, la Banca Monte dei Paschi di Siena (1472) a été aussi cruciale.
Sauver les banques pourrait être assimilé à sauver des éléments de l’appareil de production comme un autre. Mais ce n’est pas le cas. Les banques, aujourd’hui, sont un point de passage obligé pour l’ensemble des agents économiques. Ce phénomène, qualifié de bancarisation de l’économie, caractérise le fait que les banques détiennent un monopole inévitable.
Cette volonté italienne d’assainir le secteur bancaire après de nombreuses années d’accumulation, surtout depuis la crise de 2008, de créances frauduleuses ou insolvables, offre des perspectives plus positives dans le paysage économique italien. En effet, l’accès au crédit pour les entrepreneurs en serait facilité. Mais, face à une économie à la croissance plus lente et plus fragile que le reste de la zone euro et avec un taux d’endettement à hauteur de 132 % du PIB, l’Italie reste un membre à risque.
Pour revenir sur les évènements concernant les banques de la région de Venise, le 23 juin 2017, la BCE les déclarait en faillite. Deux jours après, le gouvernement italien revend pour 1€ symbolique l’ensemble de ses titres sains à la deuxième banque du pays, Intesa San Paolo. En revanche créances peinent à être revendues et risquent de coûter des milliards aux contribuables italiens (17 milliards selon The Economist). Mais cette mise en faillite était déjà le deuxième rappel fait aux banques italiennes concernant l’état de leurs comptes. La première action effectuée par la BCE à l’égard de ces banques a eu lieu le 1er juin 2017. Il s’agissait de l’approbation de la Commission pour le sauvetage de Monte dei Paschi pour un montant attendu de 6,6 milliards d’euros. Le gouvernement italien ne voulait pas dépenser plus de 5 milliards dans le sauvetage, exigeant ainsi une part de levée de capitaux qui n’a pas abouti. Dans le cas des banques vénitiennes, une restructuration a été nécessaire car la revente à Intensa supposait la fermeture de 600 agences et le licenciement de 3 900 personnes. Suite à cette initiative, les banques vénitiennes ont pu rouvrir le 26 Juin 2017.
Les décisions italiennes et de l’Union Européenne ont montré une flexibilité par rapport au Mécanisme de Résolution Unique car il n’est pas unique tant que les situations sont aussi hétérogènes en Europe. Les années de mauvaise gestion ont des conséquences politiques, notamment car Mario Draghi est en ce moment mis en cause par rapport aux mauvaises créances et sa potentielle connaissance des faits.
L’Italie a donc des spécificités au niveau de son secteur bancaire, d’où cette volonté de restructuration après des années de mauvaise gestion qui lui a valu sa place dans l’acronyme de PIIGS (désignant les pays européens qui ont mal géré leurs économies après la crise de 2008 : Portugal, Italy, Ireland, Greece, Spain). Aujourd’hui, les perspectives semblent plus positives mais comme nous l’avons vu, l’Italie présente beaucoup de caractéristiques communes aux PIIGS.
En définitive, étudier la situation économique et financière de l’Italie, c’est s’intéresser à une économie avec une structure propre qui implique des politiques économiques particulières et une réaction à la crise de 2008 qu’aucun autre pays n’a pu avoir : si le problème de la dette souveraine reste central, il est à traiter différemment, car aucune bulle spéculative n’apparaît, ni aucune volatilité intense des capitaux. Les politiques menées ont permis au pays de se stabiliser, et s’il demeure dans une situation difficile, il semble que le principal danger vient d’une vulnérabilité structurelle.
Il reste à savoir si l’Italie sera capable de purger son secteur bancaire du poids des créances douteuses et de se réformer en profondeur pour rendre effectives ses velléités politiques européennes.
Classe Internationale
Notes de bas de page :
(1), (2), (3), (4) : https://donnees.banquemondiale.org/pays/italie
(5) : https://fr.actualitix.com/pays/ita/italie-taux-de-chomage-des-jeunes.php
(6) : http://www.lemoci.com/fiche-pays/Italie/
(7), (8), (9) : https://fr.tradingeconomics.com/italy/
Bibliographie :
Institutions :
Banque Mondiale
https://donnees.banquemondiale.org/pays/italie
OCDE
http://www.oecd.org/eco/surveys/economic-survey-italy.htm
https://data.oecd.org/fr/italie.htm#profile-economy
Presse :
Courrier International, “L’Italie en crise: le « geste fou » de Berlusconi”, Lucie Geffroy
The Economist :
Why Italy’s troubled economy is returning to form”, J. H.
“Italy presents the European Union’s new bank-rescue rules with their first big test”
https://www.economist.com/news/europe/21728598-economy-seems-be-turning-around-some-good-news-italy
“Is Europe’s framework for resolving banks broken?”
“Is Europe’s framework for resolving banks broken?”
“Monte dei Paschi di Siena: Getting up again”
“The complicated failure of two Italian lenders”
Journal du net, “Classement PIB : les pays les plus riches du monde”
http://www.journaldunet.com/patrimoine/finances-personnelles/1171985-classement-pib/
Trading economics
https://fr.tradingeconomics.com/italy/
Le Monde :
“Crise de la dette : comment l’Italie en est-elle arrivée là ?”, Angela Bolis
“Matteo Renzi fait pleuvoir des milliards sur l’Italie”, Philippe Ridet
Le Point “Italie – Le pari pour l’emploi de Matteo Renzi : un bilan contrasté”, Dominique Dunglas
Moniteur du commerce international – “Italie, données générales”
http://www.lemoci.com/fiche-pays/Italie/
Notes Géopolitiques – CLÉS comprendre les enjeux stratégiques – école de management de Grenoble – “Crise(s) à l’Italienne”.
http://notes-geopolitiques.com/crise-italienne/
La Tribune, “Polémique sur le sauvetage public des banques italiennes”, Delphine Cuny
Actualix – Atlas de statistiques sur les pays, “Italie : taux de chômage des 15-24 ans”
https://fr.actualitix.com/pays/ita/italie-taux-de-chomage-des-jeunes.php
Wikipedia
https://fr.wikipedia.org/wiki/Données_macroéconomiques_dans_le_pays_de_l%27UEM
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