The commercialization of surfing in Huntington Beach : How ‘Surf City USA’ brands downtown at the expense of the Aloha spirit
Three hundred years ago, surfing legitimated political power in Hawaii. The best surfers rode long boards and were erected to the highest social position. Today in Huntington Beach, California, wave riding does not ensure royal authority but stimulate capitalism and city branding through commercialization of its subculture. This article points out the lifestyle and professional sport of surfing as political and territorial resource nourishing economic growth. In opposition, it provides alternatives to the popularization of the “Aloha spirit.”
LireAlors que Laurent Gbagbo s’accroche toujours au pouvoir, retranché dans les quelques mètres carré du palais présidentiel d’Abidjan, Inter-Action a contacté le 7 avril l’un des jeunes politiciens ivoiriens, opposant au président sortant. Kouamé Jean-Marc Yéboué, président des bénévoles pour Ado (Alassane Dramane Ouattara), raconte comment il a vécu la campagne, l’élection et la crise qui en a découlé.
LireAprès l’épisode de la nationalisation des banques, Laurent Gbagbo a décidé d’agir sur le cacao en annonçant la prochaine réquisition des stocks des firmes multinationales, bloqués suite à l’embargo sur les ports d’Abidjan et de San Pedro. Le point sur le cacao ivoirien, un des derniers espoirs pour Gbagbo de s’accrocher, encore, au pouvoir.
LireAuditeurs mécontents, blogueurs exaltés, ils pointent du doigt le black-out total, pire, l’omerta. La révolution démocratique et anticapitaliste islandaise serait passée sous silence par les médias français, à dessein. Retour sur une simili-révolution prétendument anticapitaliste.
LireLa Côte d’Ivoire n’en finit pas de s’enfoncer dans une crise politique sans précédent. Cependant, bien plus qu’un simple désaccord électoral, ce scrutin est bel et bien l’ultime (?) affrontement d’un duel qui dure depuis près de vingt ans. Entre Laurent Gbagbo, accroché au pouvoir, et Alassane Ouattara, reconnu par la communauté internationale, se joue bien plus qu’une élection. Eclairage.
LireHaïti a longtemps été la colonie la plus riche que la France ait jamais connu. Nous devons beaucoup à ce pays. Pourquoi tant d’haïtiens parlent si bien notre langue ? Pourquoi des villes comme Bordeaux, la Rochelle ou Nantes ont-elles de si beaux centres historiques ? Ce n’est pas sans rapport avec notre passé commun. Longtemps nous lui avons tourné le dos, par mépris, par rancune. Une rancœur tenace qu’il nous faut désormais laisser à l’Histoire.
LireAlors que les révoltes ont éclaté tour à tour en Tunisie et en Egypte et que souffle comme un vent de fraîcheur sur une partie de l’Afrique, le petit territoire du Somaliland continue de s’enorgueillir de sa réussite démocratique. Pourtant, la communauté internationale s’entête à lui refuser le statut d’état officiel. Quel avenir pour cette république autoproclamée, entre une Somalie fantoche et une communauté internationale aveuglée ?
LireAu début du mois de décembre, le chef du programme nucléaire iranien Ali Akbar Salehi, a annoncé avoir produit du Yellowcake, sorte de concentré d’uranium, permettant la fabrication d’uranium enrichi. Ainsi, l’Iran serait en mesure de maîtriser l’ensemble du cycle d’enrichissement, et de développer rapidement ses activités nucléaires. Une démonstration de puissance qui inquiète la communauté internationale, alors que des négociations reprennent à Genève et que l’idée d’une Zone Exempte d’Armes Nucléaires continue d’occuper les esprits.
LireDepuis l’arrivée au pouvoir de l’AKP, le Parti pour la Justice et le Développement, la politique étrangère turque semble avoir pris un virage à 180 degrés. Après avoir été un soutien indéfectible des États-Unis, un partenaire stratégique important pour Israël, et un voisin aimant de l’Union Européenne, la Turquie est devenue aujourd’hui un véritable chef d’orchestre en ce qui concerne les problématiques moyen-orientales et met un point d’honneur à normaliser l’ensemble de ses relations dans la région.
LireManque de solidarité et de perspicacité. C’est bien ce que révèle la deuxième crise européenne avec, en outre, une belle erreur de diagnostic : l’Irlande n’est pas la Grèce. Pourquoi donc devrait-elle suivre le même régime et risquer de subir un repli nationaliste ?
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